DMP : cas d’usages et méthodologie Squadata est un éditeur de solutions de data marketing en mode SaaS. Nous proposons une Data Management Platform (DMP) à des fins marketing, simple, légère et abordable, EasyDMP. Forts de notre expérience sur ce sujet, nous vous partageons quelques cas d’usages concrets de la DMP chez nos clients et notre méthode pour aborder ce sujet.
DMP : Personnalisation de la page d'accueil selon les données de CRM

L’un des cas d’usages possibles de la DMP sur le site de Valority : la personnalisation de la page d’accueil selon le scoring des prospects dans le CRM

DMP + data tierce : l’offre combinée de Squadata

Squadata est un éditeur de solutions de data marketing en mode SaaS.
Depuis 2016, nous proposons une DMP à des fins marketing, simple, légère et abordable, EasyDMP.

Nous nous appuyons sur 2 piliers :

-Une équipe d’ingénieurs  pour constamment optimiser nos solutions et répondre à des demandes de développement sur-mesure en AdTech et MarTech.

-Un data lake de millions de données third-party

Notre objectif est de permettre à des sociétés de taille moyenne à grande de bénéficier de toutes les capacités d’une DMP avec une implémentation simplifiée, une infrastructure légère en SaaS et un budget juste, étroitement lié aux volumes de data analysés.

« Cela fait plus de 5 ans que nous discutons des problématiques de DMP avec des annonceurs et des éditeurs. Certains d’entre eux ont fait des investissements massifs sur une solution trop lourde en infrastructure, alors qu’ils n’avaient clairement pas assez de données 1st-party pour nourrir leurs objectifs. Ils n’ont pas obtenu le retour sur investissement escompté et se sentent floués.

Pour éviter cette situation, nous recommandons de décider d’un budget raisonnable sur une période de test de 6 mois et de suivre un processus itératif inspiré des méthodes Agile afin d’essayer 1 ou 2 cas d’usage de la DMP, d’apprendre, d’abandonner ou d’optimiser et d’obtenir un ROI rapide. » Ludovic Mugnier, Fondateur de Squadata

DMP : cas d’usages en BtoC

 Nos clients qui vendent des produits ou services aux particuliers utilisent la Data Mangement Platform pour…

Personnaliser leur site internet aux visiteurs présents dans leur CRM.

Exemples concrets :

L’un d’entre eux est le promoteur immobilier Valority. En premier lieu, Squadata reconcilie ses données online (internautes sur son site) et ses données offline (CRM) grâce au procédé de CRM onboarding. Cela lui permet d’identifier les visiteurs de son site qui sont présents dans son CRM. Parmi eux, le promoteur définit et extrait un segment : ceux qui avaient au préalable fait un premier rendez-vous avec un conseiller mais ne sont pas encore clients. Au moment où ils arrivent sur la page d’accueil, il leur propose alors un deuxième rendez-vous avec ce même conseiller. Une nette augmentation des ventes a été observée grâce à ce levier.

-Un autre, e-commerçant, souhaitait afficher des produits sur sa page d’accueil selon le sexe du visiteur afin de raccourcir le tunnel de conversion, en présentant par exemple des photos de femmes à l’audience féminine. Or, ses données CRM se sont avérées insuffisantes. L’annonceur a alors pu bénéficier de la donnée tierce fournie par Squadata pour personnaliser un plus grand pourcentage de visites et augmenter l’efficacité de cette action.

-Centraliser les données de multiples sources, données de navigation sur les sites internet et base de données de clients issues du CRM, créer des segments d’utilisateurs selon leur comportement online et les monétiser en les vendant à des tiers (Trading Desk, spécialistes de la donnée comme Squadata… ) ou en adaptant la publicité servie sur leurs supports.

-Digitaliser des segments du CRM et les communiquer à une Demand-Side Platform (DSP) afin d’adapter les messages adressés à leurs clients et leurs investissements publicitaires aux différents niveaux de scoring définis.

Recibler leurs visiteurs inconnus par email en profitant de l’offre combinée : solution logicielle DMP et data third-party. Aujourd’hui, plus de 150 sites internet reciblent leurs visiteurs inconnus par email avec Squadata. Certains adeptes des abréviations appellent cette association de logiciel et donnée tierce une Customer Data Platform ou CDP.

-Analyser les événements d’internautes sur leur site internet, visites, clics, achats, afin d’atteindre une audience de profils jumeaux grâce à un algorithme de machine learning de lookalike exclusif, exploité sur 2 canaux : en display programmatique et en emailing.

-Enrichir leurs données de navigation avec de la data tierce à la volée : socio-démo, SHA-256, etc.

Vous avez une idée de cas d’usage ?

DMP : cas d’usage en BtoB

Nos clients qui vendent des produits et services aux entreprises y voient un moyen de partager de la donnée entre partenaires : ils identifient davantage de visiteurs anonymes de leur site internet en utilisant la donnée de CRM de leurs partenaires. Ils augmentent ainsi leur connaissance client et optimisent la relation client. L’union fait la force : cette mise en commun de la data comportementale leur permet de mieux résister à la déferlante des GAFA, qui concentrent des volumes de données auxquels ils n’ont pas accès.

 DMP : recommandation de méthodologie

Chez Squadata, nous partons des besoins du client pour décider les solutions adaptées. Dans certains cas seulement, nous recommanderons d’utiliser EasyDMP.

Nous vous suggérons donc la méthodologie suivante en 6 étapes :

1. Posez-vous des questions simples sur ce que vous aimeriez faire qui relève du data marketing.

2. Sélectionnez 1 cas d’usage qui vous semble présenter un ROI rapide et facilement mesurable.

3.  Sélectionnez 1 à 3 solutions logicielles pour leur capacité à y répondre précisément et efficacement.

4. Choisissez un prestataire. Si besoin à ce stade, faites-vous accompagner par un cabinet de conseil impartial spécialisé en data-driven marketing.

5. Faites une Proof of Concept (POC) de quelques mois, sans engagement, pour valider le retour sur investissement de cette action marketing.

6. À l’issue de la période de test, dans le pire des cas, vous pourrez toujours changer de partenaire. Sinon, optimisez votre cas d’usage et entamez-en un deuxième.

En tout, la méthode doit durer moins d’un an et le POC moins de 6 mois.

Deux typologies de besoins ressortent de nos cas clients depuis 2 ans : pour optimiser le marketing ou la monétisation. Voici quelques précisions sur la méthode à suivre dans chaque cas.

 La DMP pour l’acquisition de clients

Posez-vous quelques questions simples : Que pourrais-je faire pour optimiser mes actions publicitaires : Cibler certains bons clients de mon CRM en display ? Eviter certains publics qui ne sont pas dans ma cible pour réduire mes coûts ?

Faites un Proof Of Concept : Plus votre budget publicitaire est conséquent, plus ça vaut le coup de l’optimiser. Suivez une démarche itérative inspirée des méthodes Agile : faire un POC avec une solution de DMP simple peut vous aider à mettre en place quelques unes de ces actions en moins de 6 mois et à confirmer si ça vaut le coup de continuer.

 La DMP pour la valorisation d’audience

 Posez-vous quelques questions simples : Ai-je en ma possession des données déterministes, socio-démo ou des informations sur les centres d’intérêt ou les intentions d’achat de mon audience qui pourraient être intéressantes pour des annonceurs ? Au-delà de la seule audience de votre site internet et de votre base CRM, vous pourriez vendre cette donnée à des tiers et en tirer un bénéfice additionnel sans affecter votre monétisation actuelle.

Faites un POC : Pensez « Test and Learn ». Un POC avec une solution de DMP simple et résolument ouverte vers des tiers peut vous permettre de valoriser votre capital data, de financer le POC et de valider en quelques mois si le retour sur investissement est au rendez-vous.

Nota Bene : la monétisation d’audience n’est pas réservée aux éditeurs et régies. Certains annonceurs monétisent leur audience.

Vous avez une problématique data ?

Categories: Data Marketing